Le conseil en stratégie durable pour les entreprises et organisations publiques

Le cabinet de conseil AMALTHEE est né de l’envie d’accompagner avec sincérité, exemplarité et excellence les entreprises sur leur triple transformation environnementale, sociétale et digitale.  

Nous proposons avec mes Equipes et nos consultants experts partenaires une approche holistique des enjeux de durabilité pour maximiser l’impact de nos accompagnements sur-mesure.

Vision stratégique, Écoute, Accompagnement sur-mesure, Respect, Professionnalisme et Exigence constituent l’ADN du cabinet de conseil en stratégie durable AMALTHEE.”

Karine Lecomte, présidente fondatrice du cabinet de conseil AMALTHEE, société à mission depuis novembre 2022.

Karine Lecomte, présidente du cabinet AMALTHEE. Reims Grand-Est

Nos Références :

Ils nous ont fait confiance :

Toutes les réponses aux questions les plus fréquemment posées

Lucie 26 000 est un label français créé par l’agence LUCIE et basé sur la norme ISO 26000.
Ecovadis est une plateforme d’évaluation RSE qui fournit des notations et des rapports sur les performances RSE des entreprises. ECOVADIS est un excellent outil pour mieux connaître et faire progresser ses fournisseurs.
Le label B Corp est un label international (d’origine américaine). Il demande en moyenne 2 ans de préparation.
Le Label engagé RSE de l’AFNOR est une label français qui atteste de l’engagement d’une entreprise dans une démarche de responsabilité sociétale.
Positive Company est un label français plus récent développé par l’entreprise Positive Planet.

Pour en savoir plus, RDV sur notre article sur ces différents labels en cliquant ici

Le cabinet AMALTHEE peut vous accompagner dans la préparation à l’obtention de ces labels.

Cela dépend du fonctionnement de l’entreprise et de sa taille, mais cela varie en général entre 3 mois et 12 mois. Notre cabinet AMALTHEE vous proposera un accompagnement sur-mesure en fonction de votre maturité RSE, de vos ressources et de vos besoins (réponses à un appel d’offres, évaluation ECOVADIS, …).

La notion de parties prenantes est essentielle dans une démarche RSE.
Les parties prenantes sont des acteurs internes et externes influencés par les activités d’une entreprise. Ce sont par exemple les actionnaires, les employés, les clients, les fournisseurs, les communautés locales, les ONG, les gouvernements, les collectivités, l’environnement et les concurrents. La RSE vise à comprendre les attentes de ces parties prenantes dans les décisions et actions de l’entreprise pour promouvoir des pratiques responsables sur les plans social, environnemental et éthique. Il est conseillé de réaliser des enquêtes auprès des parties prenantes prioritaires pour avoir des données factuelles et prioriser les enjeux.

Cela dépend du secteur de l’entreprise, du nombre d’entités, du nombre de collaborateurs et de sa taille, mais en moyenne il faut compter entre 2 500 et 10 000€.

L’empreinte carbone implique l’analyse des émissions de gaz à effet de serre (GES) par les entités publiques ou privées. Cette évaluation se divise en trois scopes distincts. Le scope 1 englobe les émissions directes liées aux activités internes de l’entreprise, le scope 2 concerne les émissions indirectes liées à l’énergie externe, et le scope 3 englobe les émissions indirectes hors du contrôle direct de l’entreprise. Il faut savoir que le scope 3 représente la majorité des émissions. Le scope 1 est le plus proche de l’organisation, tandis que le scope 3 est le plus étendu et éloigné.

La CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive) est une nouvelle directive de la Commission européenne applicable depuis le 1er janvier 2024 en France Elle touche environ 50 000 entreprises à l’échelle européenne, remplaçant ainsi la NFRD transposée en France par la DPEF. La CSRD étend le champ d’application en imposant des informations sur l’impact ESG pour les entreprises de plus de 250 employés, avec 40 M€ de CA et/ou 20 M€ de bilan, ainsi que pour les banques, assurances et grandes entreprises non européennes ayant des filiales en Europe. Toutes les entreprises cotées de plus de 10 personnes seront concernées.

Les 3 piliers de la CSRD sont : l’Environnement, le Social et la Gouvernance.

Dans le cadre de la CSRD, l’entreprise devra réaliser une analyse de sa chaîne de valeur (non obligatoire mais fortement conseillé), une analyse de double matérialité, une définition et une cotation de ses IRO (Impacts, Risques et Opportunités) et publier un rapport de durabilité qui devra être audité par un OTI (Organisme Tiers Indépendant).

La Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE) peut se définir comme l’application du Développement durable en entreprise. L’ISO 26 000 définit 7 dimensions de la RSE.

L’Environnement, les Facteurs Sociaux et de Gouvernance (ESG) constituent une évaluation spécifique de la performance RSE, mesurant des critères tels que la pollution, la diversité, la gouvernance, etc. Les entreprises mettent en œuvre des pratiques RSE et des valeurs pour être responsables, tandis que l’ESG est utilisé par les investisseurs pour évaluer la durabilité à long terme des entreprises en comprenant les risques et opportunités liés à la responsabilité sociale et environnementale. En résumé, la RSE est le concept global, et l’ESG est l’outil spécifique de mesure de la performance RSE.